Réorganisation de la DGA

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La nouvelle organisation de la DGA a été publiée le 6 octobre 2009 au Journal officiel.
En se transformant en « Direction générale de l’armement », la DGA optimise une nouvelle fois sa structure en la
simplifiant.


Paris, le vendredi 9 octobre 2009

La nouvelle organisation de la DGA a été publié le 6 octobre 2009 au Journal officiel. En se transformant en « Direction générale de l’armement », la DGA optimise une nouvelle fois sa structure en la simplifiant.

La DGA devient la Direction générale de l'armement

Ce changement de dénomination traduit une volonté politique forte d’inscrire les missions de la DGA au cœur du ministère de la Défense.

Avec à sa tête Laurent Collet-Billon, délégué général pour l’armement, la DGA a ainsi en charge :

• l’équipement des forces : conduite des opérations d’armement ;

• la préparation de l’avenir : études et recherches pour les équipements futurs, politique industrielle ; coopérations européennes et internationales

• le soutien aux exportations d’armement.

Patrick Auroy est nommé directeur général adjoint.


Une nouvelle organisation DGA plus lisible

L’organisation de la Direction générale de l’armement met en avant sa compétence technique et sa capacité à accompagner la réforme.

Ainsi une direction technique est créée, regroupant les activités d’expertise technique et d’essais au sein d’une entité unique. Vincent Imbert prend les commandes de cette nouvelle direction.

Pour décliner la réforme du ministère au sein de la DGA, un service central de la modernisation et de la qualité est mis en place. Il est confié à Bruno Delor, adjoint « modernisation » du DGA.

Jean-Pierre Devaux est nommé à la tête de la direction de la stratégie (DS), en charge de la préparation de l’avenir.
La direction de Bruno Sainjon, en charge de la conduite des programmes d’armement, est rebaptisée direction des opérations (DO).

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Merci Sandy

Plus lisible n'est pas forcément nécessaire. Tout dépend de ce que l'on met derrière ce mot.

Plus efficace ?

Un industriel disait que le contrats export se perdaient en France.

Mais peut-être signifiait-t-il : entre industriels