Cours et impact pour les compagnies
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Cours et impact pour les compagnies
Pour mettre en route ce nouveau fil, un article comparatif entre plusieurs Cies US du Dallas Morning News.
Dans un premier temps, les dépenses directes hors fuel hedges. Fuel hedges ( couverture financière sur les variations de cours, à la hausse ou à la baisse ) qui peuvent modifier en positif ou l'inverse le poste comptable des charges de carburant
------------------------------------------------------------------------------------------------------------
The fuel costs among the nine largest U.S. airlines dropped $4.93 billion in the second quarter compared to a year
earlier: $6.09 billion in Q2 2009 compared to $11.01 billion in Q2 2008. That's a 45 percent decline.
So you may ask, how could airlines lose money when their fuel expenses are down so much?
The answer is that operating revenues fell even more, down $6.73 billion in Q2 2009 versus Q2 2008: $26.56 billion compares to $33.29 billion.
That's equivalent to the combined revenues in Q2 of Southwest Airlines, Alaska Air Group, AirTran Holdings and JetBlue Airways, plus another $1.86 billion.
Or, if you would, the drop in revenue is almost as much as the $7 billion in quarterly revenues for Delta Air Lines, the world's largest airline. It's more than AMR's $4.89 billion. It's more than UAL's $4.02 billion.
Among the nine biggest carriers, only AirTran and JetBlue saw their fuel expenses decline more than their revenues.
Industry analysts were expecting a very good year for airlines in 2009, which began with oil prices in the low $30s. Revenues would have to drop by historical amounts to cancel out the anticipated fuel savings.
While a barrel of oil is now above $60, the problem now is that revenues is dropping by unprecedented amounts, as the Q2 numbers are showing.
Here are charts that show the change in operating revenues and fuel expenses between Q2 2008 and Q2 2009,
and how the drop in operating revenues compared to the drop in fuel expenses. All figures in millions:
Operating revenues
Fuel expenses
Decline in operating revenues versus decline in fuel expenses
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Dans un premier temps, les dépenses directes hors fuel hedges. Fuel hedges ( couverture financière sur les variations de cours, à la hausse ou à la baisse ) qui peuvent modifier en positif ou l'inverse le poste comptable des charges de carburant
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The fuel costs among the nine largest U.S. airlines dropped $4.93 billion in the second quarter compared to a year
earlier: $6.09 billion in Q2 2009 compared to $11.01 billion in Q2 2008. That's a 45 percent decline.
So you may ask, how could airlines lose money when their fuel expenses are down so much?
The answer is that operating revenues fell even more, down $6.73 billion in Q2 2009 versus Q2 2008: $26.56 billion compares to $33.29 billion.
That's equivalent to the combined revenues in Q2 of Southwest Airlines, Alaska Air Group, AirTran Holdings and JetBlue Airways, plus another $1.86 billion.
Or, if you would, the drop in revenue is almost as much as the $7 billion in quarterly revenues for Delta Air Lines, the world's largest airline. It's more than AMR's $4.89 billion. It's more than UAL's $4.02 billion.
Among the nine biggest carriers, only AirTran and JetBlue saw their fuel expenses decline more than their revenues.
Industry analysts were expecting a very good year for airlines in 2009, which began with oil prices in the low $30s. Revenues would have to drop by historical amounts to cancel out the anticipated fuel savings.
While a barrel of oil is now above $60, the problem now is that revenues is dropping by unprecedented amounts, as the Q2 numbers are showing.
Here are charts that show the change in operating revenues and fuel expenses between Q2 2008 and Q2 2009,
and how the drop in operating revenues compared to the drop in fuel expenses. All figures in millions:
Operating revenues
Company | Change |
AMR | -$1,290 |
AirTran | -$90 |
Alaska | -$87 |
Continental | -$918 |
Delta | -$2,088 |
JetBlue | -$52 |
Southwest | -$253 |
UAL | -$1,353 |
US Airways | -$599 |
Total | -$6,730 |
Company | Change |
AMR | -$1,089 |
AirTran | -$208 |
Alaska | -$54 |
Continental | -$762 |
Delta | -$1,073 |
JetBlue | -$143 |
Southwest | -$219 |
UAL | -$1,183 |
US Airways | -$195 |
Total | -$4,926 |
Revenue vs. fuel | Difference |
AMR | -$201 |
AirTran | $118 |
Alaska | -$33 |
Continental | -$156 |
Delta | -$1,015 |
JetBlue | $91 |
Southwest | -$34 |
UAL | -$170 |
US Airways | -$404 |
Total | -$1,804 |
Admin- Admin
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Re: Cours et impact pour les compagnies
NEW YORK - Les prix du pétrole ont nettement rebondi jeudi à New York après deux journées de baisse, un brusque affaiblissement du dollar en fin de séance renforçant l'attractivité du brut.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex),
le baril de "light sweet crude" pour livraison en octobre a terminé à 72,49 dollars, en hausse de 1,06 dollar par rapport à son cours de clôture de mercredi.
A Londres, sur l'InterContinentalExchange, le baril de Brent de la mer du Nord à échéance identique a gagné 86 cents à 72,51 dollars.
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Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex),
le baril de "light sweet crude" pour livraison en octobre a terminé à 72,49 dollars, en hausse de 1,06 dollar par rapport à son cours de clôture de mercredi.
A Londres, sur l'InterContinentalExchange, le baril de Brent de la mer du Nord à échéance identique a gagné 86 cents à 72,51 dollars.
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FERGUSON- CLUB
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Re: Cours et impact pour les compagnies
Retour vers US$ 70
Les cours du pétrole affichaient une forte baisse lundi 31 août à l'ouverture des échanges à New York à cause de la chute de la Bourse de Shanghai qui suscite des inquiétudes quant à l'évolution de la demande chinoise.
Vers 13H10 GMT, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» pour livraison en octobre s'échangeait à 70,43 dollars, en baisse de 2,31 dollars par rapport à son prix de clôture de vendredi.
Selon l’agence de presse AFP, la place financière chinoise a accusé lundi sa plus forte chute depuis juin 2008, son indice composite dégringolant de 6,74%.
Ce recul a été engendré par des inquiétudes sur un assèchement du crédit, qui pourrait se traduire par un ralentissement de la croissance de l'activité, notamment de l'industrie, particulièrement gourmande en énergie.
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Les cours du pétrole affichaient une forte baisse lundi 31 août à l'ouverture des échanges à New York à cause de la chute de la Bourse de Shanghai qui suscite des inquiétudes quant à l'évolution de la demande chinoise.
Vers 13H10 GMT, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» pour livraison en octobre s'échangeait à 70,43 dollars, en baisse de 2,31 dollars par rapport à son prix de clôture de vendredi.
Selon l’agence de presse AFP, la place financière chinoise a accusé lundi sa plus forte chute depuis juin 2008, son indice composite dégringolant de 6,74%.
Ce recul a été engendré par des inquiétudes sur un assèchement du crédit, qui pourrait se traduire par un ralentissement de la croissance de l'activité, notamment de l'industrie, particulièrement gourmande en énergie.
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DOUGLAS- CLUB
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Re: Cours et impact pour les compagnies
Cours et petit développement sur Romandie.com
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LONDRES - Les cours du pétrole rebondissaient d'un dollar mardi matin, au lendemain d'une sévère baisse, ranimés par la faiblesse du billet vert, dont la chute est un encouragement à acheter du pétrole et des matières premières.
A 10H00 GMT (12H00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre gagnait 1 dollar par rapport à la clôture de vendredi, à 69,69 dollars, sur l'InterContinental Exchange (ICE).
A la même heure, le brut léger texan (WTI) pour livraison en octobre (dernier jour de cotation de ce contrat) grimpait de 1,08 dollar à 70,79 dollars sur le New York Mercantile Exchange.
"Les systèmes d'ordres automatiques achètent des actions et du pétrole sur le principe d'une nouvelle chute du dollar", a expliqué Olivier Jakob, du cabinet Petromatrix.
Utilisé comme un produit financier, le pétrole est très prisé par les fonds d'investissements, qui y voient un moyen de se couvrir contre la faiblesse du dollar et les risques d'inflation.
Le dollar a touché mardi son niveau le plus bas depuis un an face à l'euro, à 1,4821 dollar pour un euro, un mouvement ayant aussitôt déclenché des achats de matières premières.
Le pétrole, qui avait fortement chuté lundi, profitait lui aussi de ce mouvement pour repasser la barre de 70 dollars à New York.
La veille, les cours du brut avaient fortement reculé, victimes, au contraire, d'un rebond du dollar, mais aussi d'un nouvel accès de doutes sur le redressement de la demande d'or noir. Le WTI avait lâché 2,33 dollars à New York, le Brent 2,63 dollars sur le marché londonien.
"Un dollar plus fort, des marchés d'actions en panne, pas de nouvelles sur l'offre et la demande (...), le pétrole a fait (lundi) le mouvement qu'on pouvait attendre, vers le bas de la fourchette" où il s'échange depuis des semaines, a rappelé Olivier Jakob, du cabinet Petromatrix.
Les prix devraient se maintenir dans des marges étroites avant les statistiques hebdomadaires sur les stocks pétroliers américains, attendues mercredi.
Les analystes interrogés par Dow Jones Newswires anticipent une poursuite de la tendance des cinq dernières semaines: une baisse des stocks de brut, compensée par une hausse des réserves de produits pétroliers. Ils s'attendent à ce que le Département américain de l'Energie annonce une baisse de 1,4 million de barils (mb) des stocks de brut, assortie d'une progression des réserves d'essence (+400.000 barils) et de distillats (+1,6 mb).
Mercredi également, les acteurs du marché guetteront les annonces du Comité de politique monétaire de la banque centrale américaine (Fed), qui publiera un communiqué à l'issue de deux jours de réunion. Celles-ci pourraient avoir un
impact sur le dollar, un facteur déterminant pour le marché du brut.
Pour Peter Hutton, analyste chez NBC Energy, l'analyse technique des courbes du pétrole montre "de façon trop claire pour être ignorée" que "le Brent et le WTI vont rompre avec le schéma où ils sont installés depuis des mois". Selon lui, l'ampleur des stocks de distillats plaide pour une chute des prix, plutôt que pour une envolée vers de nouveaux pics.
(AFP / 22 septembre 2009 12h33)
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LONDRES - Les cours du pétrole rebondissaient d'un dollar mardi matin, au lendemain d'une sévère baisse, ranimés par la faiblesse du billet vert, dont la chute est un encouragement à acheter du pétrole et des matières premières.
A 10H00 GMT (12H00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre gagnait 1 dollar par rapport à la clôture de vendredi, à 69,69 dollars, sur l'InterContinental Exchange (ICE).
A la même heure, le brut léger texan (WTI) pour livraison en octobre (dernier jour de cotation de ce contrat) grimpait de 1,08 dollar à 70,79 dollars sur le New York Mercantile Exchange.
"Les systèmes d'ordres automatiques achètent des actions et du pétrole sur le principe d'une nouvelle chute du dollar", a expliqué Olivier Jakob, du cabinet Petromatrix.
Utilisé comme un produit financier, le pétrole est très prisé par les fonds d'investissements, qui y voient un moyen de se couvrir contre la faiblesse du dollar et les risques d'inflation.
Le dollar a touché mardi son niveau le plus bas depuis un an face à l'euro, à 1,4821 dollar pour un euro, un mouvement ayant aussitôt déclenché des achats de matières premières.
Le pétrole, qui avait fortement chuté lundi, profitait lui aussi de ce mouvement pour repasser la barre de 70 dollars à New York.
La veille, les cours du brut avaient fortement reculé, victimes, au contraire, d'un rebond du dollar, mais aussi d'un nouvel accès de doutes sur le redressement de la demande d'or noir. Le WTI avait lâché 2,33 dollars à New York, le Brent 2,63 dollars sur le marché londonien.
"Un dollar plus fort, des marchés d'actions en panne, pas de nouvelles sur l'offre et la demande (...), le pétrole a fait (lundi) le mouvement qu'on pouvait attendre, vers le bas de la fourchette" où il s'échange depuis des semaines, a rappelé Olivier Jakob, du cabinet Petromatrix.
Les prix devraient se maintenir dans des marges étroites avant les statistiques hebdomadaires sur les stocks pétroliers américains, attendues mercredi.
Les analystes interrogés par Dow Jones Newswires anticipent une poursuite de la tendance des cinq dernières semaines: une baisse des stocks de brut, compensée par une hausse des réserves de produits pétroliers. Ils s'attendent à ce que le Département américain de l'Energie annonce une baisse de 1,4 million de barils (mb) des stocks de brut, assortie d'une progression des réserves d'essence (+400.000 barils) et de distillats (+1,6 mb).
Mercredi également, les acteurs du marché guetteront les annonces du Comité de politique monétaire de la banque centrale américaine (Fed), qui publiera un communiqué à l'issue de deux jours de réunion. Celles-ci pourraient avoir un
impact sur le dollar, un facteur déterminant pour le marché du brut.
Pour Peter Hutton, analyste chez NBC Energy, l'analyse technique des courbes du pétrole montre "de façon trop claire pour être ignorée" que "le Brent et le WTI vont rompre avec le schéma où ils sont installés depuis des mois". Selon lui, l'ampleur des stocks de distillats plaide pour une chute des prix, plutôt que pour une envolée vers de nouveaux pics.
(AFP / 22 septembre 2009 12h33)
FERGUSON- CLUB
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Re: Cours et impact pour les compagnies
Rebond vers USD 70 le 1er octobre pour livraison novembre
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Cours New York Mercan 70.20
---------------------
A 16H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre lâchait 1,25 dollar par rapport à la clôture de la veille, à 67,82 dollars, sur l'InterContinental Exchange (ICE).
A la même heure, le brut léger texan (WTI) pour la même échéance cédait 1,28 dollar à 69,31 dollars sur le New York Mercantile Exchange.
En baisse de 70 cents pendant l'essentiel de la séance européenne, les cours ont accéléré leur repli en fin d'échanges, revenant vers 68 dollars le baril à Londres.
Les prix étaient d'abord pénalisés par des prises de bénéfices après leur forte avancée la veille: à New York, le baril a gagné en une séance pas moins de 3,90 dollars, talonné par le marché de Londres, qui a gagné 3,58 dollars.
En outre, nombre d'experts jugeaient que le rapport du Département américain de l'énergie (DoE), qui avait dopé les prix la veille, ne justifiait pas de tels gains mais qu'il n'avait fait que confirmer l'ampleur des réserves américaines.
Le rapport hebdomadaire du DoE avait été interprété comme un facteur de soutien aux prix malgré une augmentation de 2,8 millions de baril (mb) des réserves de brut.
"+Achetez les yeux fermés+ semble avoir été le mot d'ordre d'hier, oubliez qu'on entre dans l'hiver avec des stocks de distillats supérieurs de 39% à ceux de l'an dernier, et une demande en baisse de 9,2%", ironise ainsi Philip Wiper, du courtier PVM.
Ed Meir, analyste chez MF Global, juge lui aussi l'envolée des cours de mercredi surprenante.
Selon lui, elle s'explique davantage par l'affaiblissement du dollar que par le rapport du DoE. Elle a été en outre "exacerbée par le faible volume d'échanges et par la fin du trimestre", qui a incité des fonds spéculatifs à prendre des positions pour des raisons techniques.
Un avis partagé par Harry Tchilinguirian, analyste à la banque BNP Paribas.
Selon lui, l'influence du dollar prime sur la réalité fondamentale du marché, et c'est une nouvelle preuve que "depuis le début de la crise financière, le pétrole s'échange comme un produit financier et non comme un bien de consommation".
De fait, l'affaiblissement du dollar avait fortement contribué aussi à la hausse des prix mercredi. La tendance s'inversait jeudi, au détriment des prix du baril.
En outre, avec l'amorce d'une relative détente entre l'Iran et les Occidentaux, qui se sont réunis jeudi à Genève, les prix du pétrole perdaient un facteur de soutien important depuis plusieurs jours.
Selon deux télévisions d'Etat iraniennes, l'Iran et les six grandes puissances sont convenus de tenir une nouvelle série de discussions avant la fin du mois d'octobre, après une réunion qui s'est déroulée dans une atmosphère jugée
"constructive" par le ministre iranien des Affaires étrangères.
Par ailleurs, une rencontre entre deux hauts responsables américain et iranien a eu lieu en marge des discussions entre les "Six" et l'Iran, une première à ce niveau depuis la rupture des relations diplomatiques entre les deux pays il y a 30 ans.
ds
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Cours New York Mercan 70.20
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A 16H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre lâchait 1,25 dollar par rapport à la clôture de la veille, à 67,82 dollars, sur l'InterContinental Exchange (ICE).
A la même heure, le brut léger texan (WTI) pour la même échéance cédait 1,28 dollar à 69,31 dollars sur le New York Mercantile Exchange.
En baisse de 70 cents pendant l'essentiel de la séance européenne, les cours ont accéléré leur repli en fin d'échanges, revenant vers 68 dollars le baril à Londres.
Les prix étaient d'abord pénalisés par des prises de bénéfices après leur forte avancée la veille: à New York, le baril a gagné en une séance pas moins de 3,90 dollars, talonné par le marché de Londres, qui a gagné 3,58 dollars.
En outre, nombre d'experts jugeaient que le rapport du Département américain de l'énergie (DoE), qui avait dopé les prix la veille, ne justifiait pas de tels gains mais qu'il n'avait fait que confirmer l'ampleur des réserves américaines.
Le rapport hebdomadaire du DoE avait été interprété comme un facteur de soutien aux prix malgré une augmentation de 2,8 millions de baril (mb) des réserves de brut.
"+Achetez les yeux fermés+ semble avoir été le mot d'ordre d'hier, oubliez qu'on entre dans l'hiver avec des stocks de distillats supérieurs de 39% à ceux de l'an dernier, et une demande en baisse de 9,2%", ironise ainsi Philip Wiper, du courtier PVM.
Ed Meir, analyste chez MF Global, juge lui aussi l'envolée des cours de mercredi surprenante.
Selon lui, elle s'explique davantage par l'affaiblissement du dollar que par le rapport du DoE. Elle a été en outre "exacerbée par le faible volume d'échanges et par la fin du trimestre", qui a incité des fonds spéculatifs à prendre des positions pour des raisons techniques.
Un avis partagé par Harry Tchilinguirian, analyste à la banque BNP Paribas.
Selon lui, l'influence du dollar prime sur la réalité fondamentale du marché, et c'est une nouvelle preuve que "depuis le début de la crise financière, le pétrole s'échange comme un produit financier et non comme un bien de consommation".
De fait, l'affaiblissement du dollar avait fortement contribué aussi à la hausse des prix mercredi. La tendance s'inversait jeudi, au détriment des prix du baril.
En outre, avec l'amorce d'une relative détente entre l'Iran et les Occidentaux, qui se sont réunis jeudi à Genève, les prix du pétrole perdaient un facteur de soutien important depuis plusieurs jours.
Selon deux télévisions d'Etat iraniennes, l'Iran et les six grandes puissances sont convenus de tenir une nouvelle série de discussions avant la fin du mois d'octobre, après une réunion qui s'est déroulée dans une atmosphère jugée
"constructive" par le ministre iranien des Affaires étrangères.
Par ailleurs, une rencontre entre deux hauts responsables américain et iranien a eu lieu en marge des discussions entre les "Six" et l'Iran, une première à ce niveau depuis la rupture des relations diplomatiques entre les deux pays il y a 30 ans.
ds
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Vicant2- CLUB
- Messages : 2155
Re: Cours et impact pour les compagnies
New York (awp/afp) - Les prix du pétrole progressaient mardi à l'ouverture à New York, dopés par un nouvel affaiblissement de la monnaie américaine, dont certains pays voudraient remettre en cause la suprématie dans les échanges d'or noir.
Vers 13H10 GMT, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en novembre s'échangeait à 71,26 dollars, en hausse de 85 cents par rapport à la clôture de lundi.
"Il y a beaucoup de liquidité qui rentre dans le système: le dollar baisse et l'or et le pétrole montent", a constaté le courtier indépendant Ellis Eckland.
A la faveur des signes de reprise économique, les investisseurs, plus optimistes, se détournent de la monnaie américaine, considérée comme une valeur refuge, au profit d'actifs plus risqués comme les actions ou les matières
premières.
Un dollar plus faible signifie aussi un pétrole moins cher pour les investisseurs munis d'autres devises, encouragés à acheter.
Sapant encore davantage le billet vert, le quotidien britannique "The Independent" affirmait mardi que les pays arabes du Golfe envisagent, avec la Chine, la Russie, le Japon et la France, de remplacer le dollar dans les échanges pétroliers par un panier de monnaies incluant le yen, le yuan chinois, l'euro, l'or et la future monnaie commune du Golfe.
Le Koweït et le Qatar ont démenti ces informations, mais "il y a beaucoup de rumeurs", a rapporté M. Eckland. "C'est négatif pour le dollar et donc de nature à faire monter les cours du pétrole. Cela ébranlerait le statut de monnaie de réserve mondiale du dollar", a-t-il expliqué.
Pour les analystes de Barcalys Capital, "si tout affaiblissement du dollar en réaction à ces informations pourrait (...) entraîner un mouvement vers les actifs risqués comme les matières premières, dont le pétrole, la hausse serait difficilement soutenable sur cette seule base, à moins que des statistiques propres au marché du pétrole deviennent plus constructives".
jq
(AWP/06 octobre 2009 15h40)
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Vers 13H10 GMT, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en novembre s'échangeait à 71,26 dollars, en hausse de 85 cents par rapport à la clôture de lundi.
"Il y a beaucoup de liquidité qui rentre dans le système: le dollar baisse et l'or et le pétrole montent", a constaté le courtier indépendant Ellis Eckland.
A la faveur des signes de reprise économique, les investisseurs, plus optimistes, se détournent de la monnaie américaine, considérée comme une valeur refuge, au profit d'actifs plus risqués comme les actions ou les matières
premières.
Un dollar plus faible signifie aussi un pétrole moins cher pour les investisseurs munis d'autres devises, encouragés à acheter.
Sapant encore davantage le billet vert, le quotidien britannique "The Independent" affirmait mardi que les pays arabes du Golfe envisagent, avec la Chine, la Russie, le Japon et la France, de remplacer le dollar dans les échanges pétroliers par un panier de monnaies incluant le yen, le yuan chinois, l'euro, l'or et la future monnaie commune du Golfe.
Le Koweït et le Qatar ont démenti ces informations, mais "il y a beaucoup de rumeurs", a rapporté M. Eckland. "C'est négatif pour le dollar et donc de nature à faire monter les cours du pétrole. Cela ébranlerait le statut de monnaie de réserve mondiale du dollar", a-t-il expliqué.
Pour les analystes de Barcalys Capital, "si tout affaiblissement du dollar en réaction à ces informations pourrait (...) entraîner un mouvement vers les actifs risqués comme les matières premières, dont le pétrole, la hausse serait difficilement soutenable sur cette seule base, à moins que des statistiques propres au marché du pétrole deviennent plus constructives".
jq
(AWP/06 octobre 2009 15h40)
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Yank2- CLUB
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Re: Cours et impact pour les compagnies
Light sweet crude : 71,69
Brent : 69,79
NEW YORK (Reuters) - Les cours du pétrole ont fini en hausse jeudi avec le rebond des marchés boursiers pariant sur la reprise économique et la faiblesse du dollar.
Sur le New York Mercantile Exchange, le brut WTI pour livraison novembre a gagné 2,12 dollars ou 3,05% à 71,69 dollars le baril, après avoir évolué entre 69,17 et 72,55 dollars.
A Londres, le Brent a gagné 2,59 dollars à 69,79 dollars.
Le baril avait abandonné près de 2% mercredi après la hausse plus forte que prévu des stocks d'essence et de produits distillés la semaine dernière aux Etats-Unis.
Robert Gibbons, version française Gwénaëlle Barzic et Danielle Rouquié
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Brent : 69,79
NEW YORK (Reuters) - Les cours du pétrole ont fini en hausse jeudi avec le rebond des marchés boursiers pariant sur la reprise économique et la faiblesse du dollar.
Sur le New York Mercantile Exchange, le brut WTI pour livraison novembre a gagné 2,12 dollars ou 3,05% à 71,69 dollars le baril, après avoir évolué entre 69,17 et 72,55 dollars.
A Londres, le Brent a gagné 2,59 dollars à 69,79 dollars.
Le baril avait abandonné près de 2% mercredi après la hausse plus forte que prévu des stocks d'essence et de produits distillés la semaine dernière aux Etats-Unis.
Robert Gibbons, version française Gwénaëlle Barzic et Danielle Rouquié
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Hugot2- CLUB
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Re: Cours et impact pour les compagnies
LSC pour novembre à 78,53, Brent à 76,99
NEW YORK - Les prix du pétrole ont progressé pour la septième séance d'affilée vendredi à New York, soutenus par la progression de la production industrielle aux Etats-Unis et un regain de tensions au Nigeria.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en novembre a terminé à 78,53 dollars, en hausse de 95 cents par rapport à la clôture de jeudi et à son plus haut niveau depuis octobre 2008.
Il cumule sept séances d'affilée de progression, sur lesquelles il a pris plus de neuf dollars, soit presque 13%.
A Londres, sur l'InterContinentalExchange, le baril de Brent de la mer du Nord à échéance décembre, nouveau contrat de référence, a gagné 76 cents à 76,99 dollars.
"Le principal facteur qui oriente le marché, ce sont les attentes économiques", a expliqué Jason Schenker, de Prestige Economics. "Les chiffres de la production industrielle ont poussé les prix vers le haut".
La production industrielle des Etats-Unis a progressé en septembre pour le troisième mois d'affilée, et bien plus que prévu, ce qui a conforté les attentes de reprise de la consommation d'énergie dans le pays.
"Un autre facteur important est le fort mouvement des prix hier (jeudi) en raison de la surprise dans les statistiques sur les stocks" pétroliers américains, a ajouté M. Schenker.
Le baril avait bondi en réaction à l'annonce d'une forte baisse des réserves pétrolières américaines la semaine dernière, notamment d'essence.
Autre élément de soutien pour les prix, le Mouvement pour l'émancipation du delta du Niger (Mend), principal groupe armé du sud du Nigeria, a annoncé que le cessez-le-feu de 90 jours qu'il avait déclaré avait pris fin vendredi matin
et qu'il allait reprendre ses attaques contre les installations pétrolières et l'armée.
"Les activités du Mend ont fortement affecté la production de pétrole du Nigeria dans le passé et l'incapacité du gouvernement à régler le problème pendant le cessez-le-feu laisse les infrastructures pétrolières vulnérables à
de futures attaques", ont estimé les analystes de Barclays Capital.
Depuis trois ans, le Mend livre une "guerre du pétrole" contre les infrastructures pétrolières nigérianes et étrangères au Nigeria, l'un des premiers producteurs d'or noir en Afrique.
De nouvelles attaques "pourrait facilement affecter la production du pays de 100.000 barils en cas d'attaque", a avancé l'analyste indépendant Ellis Eckland, pour qui le baril pourrait facilement atteindre 85 dollars dans les jours à venir.
Le baril est sorti cette semaine de la fourchette dans laquelle il a évolué tout l'été, entre 65 et 75 dollars, dans un climat d'optimisme sur les marchés financiers quant à la reprise économique.
Le marché est soutenu en outre par le récent affaiblissement de la monnaie américaine, qui pousse les investisseurs à investir dans les matières premières pour se protéger d'une perte de valeur de leurs avoirs.
"Cependant, alors que les prix approchent 80 dollars, le scepticisme sur la durabilité de la reprise économique ira croissant", a estimé Mike Fitzpatrick, de MF Global.
Certains économistes craignent en effet que la remontée des cours de l'énergie ne freine la reprise, voir l'étouffe dans l'oeuf.
(AFP / 16 octobre 2009 21h30)
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NEW YORK - Les prix du pétrole ont progressé pour la septième séance d'affilée vendredi à New York, soutenus par la progression de la production industrielle aux Etats-Unis et un regain de tensions au Nigeria.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en novembre a terminé à 78,53 dollars, en hausse de 95 cents par rapport à la clôture de jeudi et à son plus haut niveau depuis octobre 2008.
Il cumule sept séances d'affilée de progression, sur lesquelles il a pris plus de neuf dollars, soit presque 13%.
A Londres, sur l'InterContinentalExchange, le baril de Brent de la mer du Nord à échéance décembre, nouveau contrat de référence, a gagné 76 cents à 76,99 dollars.
"Le principal facteur qui oriente le marché, ce sont les attentes économiques", a expliqué Jason Schenker, de Prestige Economics. "Les chiffres de la production industrielle ont poussé les prix vers le haut".
La production industrielle des Etats-Unis a progressé en septembre pour le troisième mois d'affilée, et bien plus que prévu, ce qui a conforté les attentes de reprise de la consommation d'énergie dans le pays.
"Un autre facteur important est le fort mouvement des prix hier (jeudi) en raison de la surprise dans les statistiques sur les stocks" pétroliers américains, a ajouté M. Schenker.
Le baril avait bondi en réaction à l'annonce d'une forte baisse des réserves pétrolières américaines la semaine dernière, notamment d'essence.
Autre élément de soutien pour les prix, le Mouvement pour l'émancipation du delta du Niger (Mend), principal groupe armé du sud du Nigeria, a annoncé que le cessez-le-feu de 90 jours qu'il avait déclaré avait pris fin vendredi matin
et qu'il allait reprendre ses attaques contre les installations pétrolières et l'armée.
"Les activités du Mend ont fortement affecté la production de pétrole du Nigeria dans le passé et l'incapacité du gouvernement à régler le problème pendant le cessez-le-feu laisse les infrastructures pétrolières vulnérables à
de futures attaques", ont estimé les analystes de Barclays Capital.
Depuis trois ans, le Mend livre une "guerre du pétrole" contre les infrastructures pétrolières nigérianes et étrangères au Nigeria, l'un des premiers producteurs d'or noir en Afrique.
De nouvelles attaques "pourrait facilement affecter la production du pays de 100.000 barils en cas d'attaque", a avancé l'analyste indépendant Ellis Eckland, pour qui le baril pourrait facilement atteindre 85 dollars dans les jours à venir.
Le baril est sorti cette semaine de la fourchette dans laquelle il a évolué tout l'été, entre 65 et 75 dollars, dans un climat d'optimisme sur les marchés financiers quant à la reprise économique.
Le marché est soutenu en outre par le récent affaiblissement de la monnaie américaine, qui pousse les investisseurs à investir dans les matières premières pour se protéger d'une perte de valeur de leurs avoirs.
"Cependant, alors que les prix approchent 80 dollars, le scepticisme sur la durabilité de la reprise économique ira croissant", a estimé Mike Fitzpatrick, de MF Global.
Certains économistes craignent en effet que la remontée des cours de l'énergie ne freine la reprise, voir l'étouffe dans l'oeuf.
(AFP / 16 octobre 2009 21h30)
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Et un article sur aerocontact !
NEW YORK, 23 octobre (Reuters) -
Les cours du pétrole pourraient remonter vers le seuil des 100 dollars dans les six mois à venir si le dollar continue de se déprécier face à l'euro, prévient vendredi un économiste de Deutsche Bank.
"Nous pensons que le dollar pourrait s'affaiblir encore, jusqu'à 1,60 contre un euro, ce qui veut dire que les prix du pétrole risquent d'atteindre à nouveau le seuil fatidique des trois chiffres", a déclaré à Reuters Adam Sieminski, chargé de l'énergie chez Deutsche Bank.
Un dollar plus faible implique également que "les prix du pétrole auront plus de chemin à parcourir" mais un retour à 100 dollars le baril pourrait compromettre la reprise économique, prévient l'établissement dans une note de recherche.
"Nous pensons que 80 dollars, ce n'est pas encore assez haut pour enrayer la reprise mondiale, mais nos économistes
prévoient une consommation globale en baisse à partir de 100 dollars le baril", indique la note.
Libellés en dollar, les cours du pétrole ont fluctué en sens inverse du billet vert. Les réserves de pétrole et de produits
raffinés sont à l'heure actuelle encore bien supérieures à leurs niveaux moyens.
Les membres de l'Opep risquent de se trouver dans une "situation difficile" lors de leur réunion de décembre, où ils
devront décider s'ils relancent ou pas la production, estime Deutsche Bank.
"L'Opep pourrait vouloir apaiser le marché en fournissant plus de pétrole, mais il est incertain que les raffineurs aient
envie de le recevoir", dit Adam Sieminski dans la note.
Deutsche Bank maintient sa prévision de cours pour 2010 à 65 dollars, nettement en dessous du niveau actuel d'environ 80 dollars. Selon l'analyste, cette prévision découle du niveau actuellement élevé des réserves mondiales.
(Joshua Schneyer, version française Gregory Schwartz)
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"Nous pensons que le dollar pourrait s'affaiblir encore, jusqu'à 1,60 contre un euro, ce qui veut dire que les prix du pétrole risquent d'atteindre à nouveau le seuil fatidique des trois chiffres", a déclaré à Reuters Adam Sieminski, chargé de l'énergie chez Deutsche Bank.
Un dollar plus faible implique également que "les prix du pétrole auront plus de chemin à parcourir" mais un retour à 100 dollars le baril pourrait compromettre la reprise économique, prévient l'établissement dans une note de recherche.
"Nous pensons que 80 dollars, ce n'est pas encore assez haut pour enrayer la reprise mondiale, mais nos économistes
prévoient une consommation globale en baisse à partir de 100 dollars le baril", indique la note.
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raffinés sont à l'heure actuelle encore bien supérieures à leurs niveaux moyens.
Les membres de l'Opep risquent de se trouver dans une "situation difficile" lors de leur réunion de décembre, où ils
devront décider s'ils relancent ou pas la production, estime Deutsche Bank.
"L'Opep pourrait vouloir apaiser le marché en fournissant plus de pétrole, mais il est incertain que les raffineurs aient
envie de le recevoir", dit Adam Sieminski dans la note.
Deutsche Bank maintient sa prévision de cours pour 2010 à 65 dollars, nettement en dessous du niveau actuel d'environ 80 dollars. Selon l'analyste, cette prévision découle du niveau actuellement élevé des réserves mondiales.
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On dirait que ça se calme, un peu, pour le moment
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Le fléchissement continue
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Yoyo, autours des 78$. Pas d'affolement
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Et recul
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Retours sur les 78
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