Air France KLM Group

Alitalia: pas de vente prévue pour l'instant à Air France

MILAN (Italie), 21 mai 2010 (AFP)La question de la vente d'Alitalia à Air France-KLM n'est pas à l'ordre du jour, a affirmé vendredi le directeur général de la compagnie italienne, Rocco Sabelli, dans un entretien au quotidien économique Il Sole 24 ore.

Air France-KLM is discussing the delivery of new aircraft with International Lease Finance founder Steven Udvar-Hazy's new venture, Air Lease.

According to the carrier's chief financial officer Philippe Calavia, the group has had a long-term relationship with Hazy during his time with ILFC. "Of course we are comfortable working with him. We are in negotiations to organise the financing of some aircraft - most likely 777s or narrowbodies," Calavia says.

Air Lease will be able to provide attractive terms, believes Calavia, who says that Hazy "has raised a big amount of funds, found investors ready to back him and received the support of banks."
However, he believes Air Lease will inevitably be a different animal than ILFC: "It will be at a lower pace and scale compared to when ILFC had the support of AIG."

Udvar-Hazy co-founded ILFC in 1973 and stayed at the helm after selling the company to the now-troubled insurer AIG in 1990, ultimately building it into a giant of the aircraft leasing business, owing more than 900 aircraft and rivalled only by GECAS.
He retired earlier this year from ILFC, which remains subject to ongoing sale or break-up speculation following AIG's near bankruptcy and a US Treasury bailout in 2008.

La compagnie aérienne prévoit de reprendre ses négociations avec Airbus et Boeing pour commander 100 à 150 avions, selon La Tribune. Les nouveaux appareils serviraient à remplacer des anciens, mais aussi à accroître la flotte.

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Malgré [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], Air france -KLM pense à reprendre son projet d'une méga-commande d'avions, révèle La Tribune paru ce mercredi. La compagnie aérienne prévoit de «relancer les négociations avec Airbus et Boeing à l'automne. Une commande pourrait être passée en 2011, au plus tôt», a indiqué une source de l'entreprise au quotidien.
Le projet, qui concernait à l'origine entre 50 et 100 appareils, avait été [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] en raison du retard pris chez Airbus et Boeing, selon les dirigeants d'Air France.
Air France envisage maintenant de commander entre 100 et 150 long-courriers , d'une valeur comprise entre une vingtaine et 38 milliards de dollars. D'après La Tribune, ces nouveaux appareils serviraient non seulement à remplacer des avions en service depuis les années 1990 mais aussi à accroître la flotte d'Air France-KLM dans un objectif de développement du trafic.
Les avions sélectionnés par la compagnie, les B787-900 et A350-900, ne devraient pas être livrés avant 2013.

Air France réactive sa méga-commande d'avions

Le groupe relancera à l'automne ses négociations avec Airbus et Boeing pour l'achat de 100 à 150 long-courriers, d'une valeur pouvant atteindre 38 milliards de dollars au prix catalogue

Les difficultés financières d'Air France -KLM et les incertitudes macroéconomiques ne poussent pas à la reprise des gros investissements à court terme. Elles n'empêchent pas, néanmoins, de préparer l'avenir. Passé au second plan ces derniers mois en raison des difficultés du groupe et, surtout, du manque de visibilité sur les nouveaux programmes Airbus A350 et Boeing 787, le projet de passer une méga-commande d'avions long-courriers commune à Air France et KLM, refait surface au sein du groupe. « Nous allons relancer les négociations avec Airbus et Boeing à l'automne. Une commande pourrait être passée en 2011, au plus tôt », indique à « La Tribune » un membre de la direction générale d'Air France. Et de préciser : « L'ordre de grandeur de nos besoins se situe entre 100 et 150 appareils », alors que, jusqu'ici, « une centaine d'unités » était plutôt évoquée.
Le prix au coeur du débat
Une commande énorme dont le montant serait compris entre une vingtaine et 38 milliards de dollars au prix catalogue (pour 150 A350-900, hypothèse haute). Celui-ci n'est quasiment jamais payé par les transporteurs. Mais il sert de référence pour les transactions, qui peuvent déboucher, dans le cas de commandes aussi stratégiques, sur des rabais de 50% environ. Une somme qui s'étend sur de nombreuses années et dont les paiements sont effectués au fil des livraisons.
La question du prix sera au coeur des débats « En 2009, nous avions lancé une consultation auprès des deux constructeurs afin qu'ils répondent à nos caractéristiques. Il n'y avait pas d'engagements sur les prix. Cette fois, nous irions plus vers un appel d'offres, qui peut être, ne serait pas définitif», explique t-on. Une chose est sûre. Parmi les différentes versions de B787 ou d'A350, Air France KLM a déjà arrêté ses choix. Seuls les B787-900 et A350-900 intéressent le groupe, dont les premiers besoins visent à remplacer les Airbus A330, 340, les Boeing 777-200 et les MD11 entrés dans les flottes d'Air France ou de KLM dans les années 90.
Le B787-900, d'une capacité comprise entre 250 er 290 sièges, est prévu par Boeing pour fin 2013, dans le même temps que l'A350-900 (314 sièges) disponible un peu plus tôt de la même année. De tels calendriers laissent d'ailleurs sceptiques chez Air France, où l'on s'interroge notamment sur la manière d'allonger le B787, un appareil composé en grande partie en composite.
Quant au remplacement des B777-300, dont les plus anciens ont une dizaine d'années, et des B747-400, la partie semble se jouer entre l'A350-1000 et la nouvelle version du B777-300 sur laquelle travaille Boeing, celle-ci ayant l'avantage de reposer sur un appareil dont les performances sont saluées par toutes les compagnies.
Ne figurera pas dans cette commande, la question des B747 combi (mi cargo-mi passagers), qui, pourraient être remplacés à terme par un mix de B777-200 et 300. Outre le renouvellement d'avions, ces projets ont également vocation à apporter de la croissance. Ce qui traduit un certain optimisme

Jeannot a écrit:Même information mais plus fouillée sur la Tribune

Air France réactive sa méga-commande d'avions

Le groupe relancera à l'automne ses négociations avec Airbus et Boeing pour l'achat de 100 à 150 long-courriers, d'une valeur pouvant atteindre 38 milliards de dollars au prix catalogue

Quel effet veut créer AF-KLM ? Faire du "suspense" ?

Les difficultés financières d'Air France -KLM et les incertitudes macroéconomiques ne poussent pas à la reprise des gros investissements à court terme. Elles n'empêchent pas, néanmoins, de préparer l'avenir. Passé au second plan ces derniers mois en raison des difficultés du groupe et, surtout, du manque de visibilité sur les nouveaux programmes Airbus A350 et Boeing 787, le projet de passer une méga-commande d'avions long-courriers commune à Air France et KLM, refait surface au sein du groupe. « Nous allons relancer les négociations avec Airbus et Boeing à l'automne. Une commande pourrait être passée en 2011, au plus tôt », indique à « La Tribune » un membre de la direction générale d'Air France. Et de préciser : « L'ordre de grandeur de nos besoins se situe entre 100 et 150 appareils », alors que, jusqu'ici, « une centaine d'unités » était plutôt évoquée.

Mais tout le monde avait compris qu'il s'agirait "jusqu'à 150 avions, .... options incluses" !
La récente précision signifie tout simplement que :
-- malgré la phrase assez futile sur "surtout, le manque de visibilité" (qui s'applique davantage au programme B787 qu'à celui de l'A350-XWB),
-- AF-KLM a la percption que la barre sera mise si haut, dans ces peogrammes, par rapport aux appareils actuels des flottes respectives et / ou collective d'AF & de KLM,
-- qu'il serait préférable d'accepter la réalité d'un manque naissant de compétitivité future, plus important qu'attendu, et, par conséquent, de prévoir plus tôt qu'initialement prévu, les retrait & "phase-out" de ces appareils, ...
-- afin de regagner au plus tôt le niveau général de modernité et de compétitivité des circonstances qui se préparent et s'annoncent déjà !

Il y a du rattrapage / du 'catch-up" en l'air ! Et mieux vaudrait le reconnaître ! Car Boeing & Airbus le savent ; et les concurrents, aussi !
Le prix au coeur du débat

Une commande énorme dont le montant serait compris entre une vingtaine et 38 milliards de dollars au prix catalogue (pour 150 A350-900, hypothèse haute). Celui-ci n'est quasiment jamais payé par les transporteurs. Mais il sert de référence pour les transactions, qui peuvent déboucher, dans le cas de commandes aussi stratégiques, sur des rabais de 50% environ. Une somme qui s'étend sur de nombreuses années et dont les paiements sont effectués au fil des livraisons.

Vrai, ... ou 'pas faux" ! Mais, relire le commentaire ci-dessus. Malgré la taille de la commande annoncée, ... esquissée ci-dessus, .... qui sera sans douté divisée entre Boeing & Airbus, la "donne actuelle" d'AF-KLM, & son positionnement en ce moment, ne vont pas lui obtenir une optimisation parfaite en terme de prix ! Etant donné que cette combiniason AF-KLM sera pressée, .... il y aura des primes de rapidité à consentir, dans les prix négociés / à négocier, si AF-KLM essaie de raccourcir les délais de livraison !

Les autres Cies. clientes, qui ont payé leurs acomptes, ... surtout celles qui l'ont fait, pour se trouver très mal servies par Boeing, notamment, ne vont pas rester les bras croisés, pour permettre à AF-KLM de les doubler !

La question du prix sera au coeur des débats « En 2009, nous avions lancé une consultation auprès des deux constructeurs afin qu'ils répondent à nos caractéristiques. Il n'y avait pas d'engagements sur les prix. Cette fois, nous irions plus vers un appel d'offres, qui peut être, ne serait pas définitif», explique t-on. Une chose est sûre. Parmi les différentes versions de B787 ou d'A350, Air France KLM a déjà arrêté ses choix. Seuls les B787-900 et A350-900 intéressent le groupe, dont les premiers besoins visent à remplacer les Airbus A330, 340, les Boeing 777-200 et les MD11 entrés dans les flottes d'Air France ou de KLM dans les années 90.

Ceci est une bonne indication de l'intention de Boeing de remplacer en priorité les B777-300ER,
-- avant les B737-NG, ...
-- et que Boeing & GE / Boring -GE ont, sans doute, envisagé de donner une position de client de lancement à AF-KLM (aucune possibilité de traiter avec les Cies. américaines ou japonaises, à cet égard, à ce stade ! ), ....
-- sur le futur Super-Bi de remplacement (410 à 420 sièges, config. cabine en 3 classes std. -- 4ème classe possible -- et selon les normes modernes de confort spacieux.

Le B787-900, d'une capacité comprise entre 250 er 290 sièges, est prévu par Boeing pour fin 2013, dans le même temps que l'A350-900 (314 sièges) disponible un peu plus tôt de la même année. De tels calendriers laissent d'ailleurs sceptiques chez Air France, où l'on s'interroge notamment sur la manière d'allonger le B787, un appareil composé en grande partie en composite.

AF-KLM veut reprendre les manies de Tim CLARK -Emirates ? Chercher toujours l'avion qui n'existe pas ?

Quant au remplacement des B777-300, dont les plus anciens ont une dizaine d'années, et des B747-400, la partie semble se jouer entre l'A350-1000 et la nouvelle version du B777-300 sur laquelle travaille Boeing, celle-ci ayant l'avantage de reposer sur un appareil dont les performances sont saluées par toutes les compagnies.
Ne figurera pas dans cette commande, la question des B747 combi (mi cargo-mi passagers), qui, pourraient être remplacés à terme par un mix de B777-200 et 300. Outre le renouvellement d'avions, ces projets ont également vocation à apporter de la croissance. Ce qui traduit un certain optimisme

A suivre...

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Air France prépare l'abandon de l'avion-cargo

INFO LE FIGARO - La compagnie annoncera lundi à ses salariés le rapatriement de services et d'effectifs de sa branche transport de marchandises au sein de l'activité passagers. Les syndicats y voient une étape vers la disparition des avions-cargos.

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Changement de cap en vue chez Air France. La compagnie réalise aujourd'hui 26 % de son transport de marchandises dans des appareils dédiés, les avions-cargos, et met le reste dans les soutes des avions de passagers. À terme, la totalité de l'activité cargo pourrait bien se faire par soute. Ce virage sera esquissé lundi prochain par la direction de la compagnie, lors d'un comité d'entreprise (CE). Cette annonce devrait prendre le personnel de court.
Selon nos informations, un ordre du jour complémentaire du CE a été diffusé la semaine dernière, deux jours après la publication des pertes records d'Air France. Il prévoit le transfert de l'organisation du programme des vols cargo (les équipes qui élaborent les plannings des vols) vers l'activité passagers. «La gestion de cinq avions-cargos et leur spécificité va se perdre dans la programmation de plus de 100 avions long-courriers, explique un responsable syndical. C'est une nouvelle étape vers la disparition des avions-cargos.» Contactée par Le Figaro, la direction d'Air France reconnaît «travailler», mais dément tout projet d'abandon de la flotte cargo.
Pourtant, selon les syndicats de la compagnie, cette réforme est déjà en route. L'offre de transport par avion-cargo, qui représentait 47 % de l'offre totale de fret chez Air France il y a quatre ans, n'est aujourd'hui plus que de 26 %. En moins de deux ans, Florence Parly, la patronne du fret d'Air France, a réduit la flotte dédiée au cargo de 11 à 5 avions. Deux des cinq appareils restant seront restitués au loueur ILFC en 2013.

Objectif : remplir les soutes
Florence Parly, ancienne secrétaire d'État au Budget, a également lancé le Programme d'ajustement du cargo (PAC). Son leitmotiv est de tout miser sur le remplissage des soutes des avions passagers. Tous les commerciaux sont désormais mobilisés autour de cet objectif. Cette stratégie rapproche Air France du modèle British Airways et l'éloigne du modèle Lufthansa. Le concurrent britannique n'a plus d'activité cargo en propre depuis des années. Il passe par un prestataire extérieur, Global Supply Systems, qui a 3 avions-cargos. Lufthansa détient de son côté 19 avions-cargos et a une filiale en commun avec DHL (AeroLogic), qui possède 4 appareils et en aura 8 en fin d'année.
Cette réduction de la voilure doit permettre à la compagnie de se libérer de cette activité, qui a perdu 660 millions d'euros en deux ans. Les pertes du cargo ont représenté un tiers de celles d'Air France-KLM en 2009-2010.
Cette réforme ne devrait pas passer sans heurt. La grande grève de 1993 était déjà partie de la branche cargo. Des syndicats de pilote, le SNPL et l'UNPL, ont mis sur pied un scénario alternatif à celui de la direction. Le SNPL travaille notamment à un nouveau «protocole des pilotes». Celui négocié au moment de la fusion avec KLM cloisonne les opérations aériennes des deux partenaires. Il empêche donc les équipages de KLM de voler sur des appareils d'Air France et réciproquement. Une remise à plat de ce protocole et la fusion des activités cargo du groupe, aujourd'hui dispersées entre Air France, KLM et la filiale Martinair, permettrait de réaliser d'importantes synergies et donc d'importantes réductions de coûts.
Selon les pilotes, il faudrait aussi développer des partenariats : «On aurait déjà pu se rapprocher de Fedex, comme Lufthansa l'a fait avec DHL, plutôt que de leur vendre nos avions, regrette un responsable syndical. Si les pilotes, tout comme le personnel au sol acceptent des changements, on peut relever le cargo.»

Jeannot a écrit:Le 787-9 et le 350XWB-900 sont assez proches. Non ? Du moins c'est ce que dit Boeing. Alors pourquoi commander deux types d'avions assez voisins ?

SEVRIEN a écrit:

Jeannot a écrit:Le 787-9 et le 350XWB-900 sont assez proches. Non ? Du moins c'est ce que dit Boeing. Alors pourquoi commander deux types d'avions assez voisins ?

B787-9 plutôt pour KLM ?
Mix A350-900 pour AF & KLM ?

Qantas' Jetstar in alliance with Air France-KLM

SYDNEY, June 2, 2010 (AFP)Jetstar, the budget offshoot of Australian flag carrier Qantas, Wednesday announced an agreement with Air France-KLM which the airline hopes will expand its customer base in Europe.

Jeannot a écrit:

SEVRIEN a écrit:

Jeannot a écrit:Le 787-9 et le 350XWB-900 sont assez proches. Non ? Du moins c'est ce que dit Boeing. Alors pourquoi commander deux types d'avions assez voisins ?

B787-9 plutôt pour KLM ?
Mix A350-900 pour AF & KLM ?

Dans tous les cas, sauf surprise GE sur le 350 (surprise à la quelle je ne crois pas), un des éléments imortants est l'arrivée de RR chez AF-KLM. Cela va faire du bruit chez AFI.

J'ai aussi passé un peu de temps à regarder les caractéristiques constructeur des versions du 787 et du 350. Il est vrau que le 878-7-commence plus bas que le 350-800. Alors ne maaque-t-il pas un 350-700 plus petit pour contrer réellement le 787-8 (pure DPO) et en en haut de gamme une version long-range du 350-1000 ?

Air France-KLM prévoit une perte de plus de 300 millions en 2010 (presse)

PARIS, 4 juin 2010 (AFP)Air France-KLM prévoit une perte d'environ 300 millions d'euros en 2010 en raison de l'impact négatif de ses couvertures carburant, rapporte vendredi La Tribune

PARIS, 23 juin (Reuters) -

Air France pense que 4.390 personnes auront quitté l'entreprise, sans avoir été licenciées, d'ici à mars 2013, suivant un document interne cité par La Tribune, dans un article à paraître jeudi.

"La compagnie française (hors filiales) table sur 4.390 départs au cours des trois prochains exercices: 2.436 en 2010-2011 (clos fin mars 2011), 834 en 2011-2012 et 1.121 en 2012-2013", écrit le quotidien, qui cite la GPEC (gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences).

Ce document devait être présenté jeudi au comité central d'entreprise mais la chose été reportée à juillet pour cause de grève, précise le quotidien financier. A l'échéance de mars 2013, les effectifs d'Air France auront ainsi diminué de 16,3% par rapport à mars 2008, soit avant le début de la crise, à 47.694 personnes, écrit encore La Tribune, qui fait mention cette fois d'un rapport du Comité central d'entreprise.

Ce "dégraissage" se sera opéré par un gel des embauches, un non-remplacement des départs à la retraite et un plan de départs volontaires.

Contacté par Reuters, la compagnie aérienne s'est abstenu de tout commentaire.

(Wilfrid Exbrayat)

Boosted by a €1.03 billion capital gain from the sale of its 23.1% stake in Amadeus, Air France KLM Group posted a net profit of €736 million ($953 million) for its fiscal first quarter ended June 30, reversed from a €426 million deficit in the year-ago period.

In addition to the gain from the Amadeus IPO ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]), the company cited a “strong recovery” in both passenger and cargo traffic, with a “strong rise in unit revenues, especially in cargo.”

Revenue for the three months rose 10.7% year-over-year to €5.72 billion.

AF KLM said that without the impact of the airspace closures, revenue would have lifted 15.9%.

Operating costs increased 3.3% owing in large part to a 26.8% increase in fuel costs to €1.44 billion.

Excluding fuel, costs declined 2.6%.

Operating loss narrowed to €132 million from €496 million a year ago.

The group said the closure of European airspace in April “masked” the recovery in passenger traffic.

Quarterly traffic declined 2.3% to 49.28 billion RPKs, but was up over 4% in both May and June versus last year.

Capacity was reduced 4.9%, leading to a 2.2 point gain in load factor to 81.5%.

Unit revenue recovered to levels “close to those of 2007-08," it said.

RASK was up 14.8% to €0.0689 and yield rose 11.8% to €0.0845.

Passenger revenue heightened 8.8% to €4.37 billion.

The operating loss of the passenger business narrowed to €142 million from €338 million in the year-ago period.

Without the impact of the airspace closure, it would have been at breakeven, AF KLM said.

It noted that forward bookings for the fiscal second quarter are “solid” but cautioned that uncertainty surrounding the economic environment and fuel prices “leads us to remain prudent” for the second half of the year.

“Nevertheless, in view of the positive indications from the medium-haul transformation and the quicker than expected
turnaround of the cargo business, our objective for full year 2010-11 is of operating breakeven, excluding the impact of the airspace closure in April.”

It reported a €1.28 billion operating loss for its fiscal year ended March 31.